Roman graphique / BD – 199 pages
Année de publication : 2019 > réédition 2025
Pourquoi je vous en parle ?
Parce qu’on se sent parfois seul·e face à ses peurs, à ses projets, à soi-même.
La fille dans l’écran m’a touchée par sa manière douce et lumineuse d’aborder la rencontre. Le lien qui aide à se redresser, à se réinventer, même à distance.
C’est une BD qui parle de solitude, de phobie sociale, mais aussi d’élan, de créativité, d’amour et de confiance. Et même si elle ne parle pas directement du corps, elle résonne avec ma pratique. Prendre soin, c’est aussi accompagner les cheminements intérieurs, et encourager chacun·e à s’écouter, à se faire une place — dans le monde et en soi.
L’histoire en bref
Coline vit en France, Marley au Québec. Elles se rencontrent à travers un écran, par hasard. Chacune mène sa vie de son côté : Coline, isolée, en proie à l’anxiété et au doute ; Marley, plus extravertie, portée par son art et sa liberté.
La BD suit leur évolution en parallèle, chacune sur une moitié de page. Le style graphique distinct reflète leur univers : des teintes grises pour l’une, plus colorées pour l’autre. Peu à peu, leurs mondes se rapprochent, s’influencent, s’illuminent.
Le récit parle de lien, d’écoute, de changement, et de cette magie qui peut surgir quand on ose sortir de sa zone de confort.
Pour ouvrir le dialogue…
La fille dans l’écran s’adresse à celle.ux qui se cherchent, qui doutent, qui ont peur de se lancer. Elle parle du pouvoir de la rencontre, même virtuelle, et de la manière dont l’échange peut faire bouger les lignes intérieures.
La dimension LGBTQIA+ est présente, naturelle, sans être le cœur unique du récit — et c’est aussi ce qui en fait une œuvre précieuse.
Une lecture douce, sincère et inspirante, à glisser entre les mains de toute personne en quête de confiance, de lien ou simplement d’un peu de lumière.
Le récit parle de lien, d’écoute, de changement, et de cette magie qui peut surgir quand on ose sortir de sa zone de confort.